Jonathan Gould, un ancien dirigeant de BitFury et allié de la crypto, vient de passer un vote au Sénat pour devenir le prochain président de l'OCC. Dans ce rôle, il pourrait rendre la politique bancaire nationale plus favorable à la crypto. Le président Trump a choisi Gould pour ce poste il y a plusieurs mois, et sa confirmation pourrait ouvrir de nouvelles opportunités. Cependant, son rôle pourrait centraliser davantage l'autorité sur la crypto, une décision qui pourrait se retourner contre lui. Gould devrait devenir président de l'OCC. L'Office of the Comptroller of the Currency (OCC), un bureau au sein du Trésor américain, est un élément négligé mais important de la réglementation financière fédérale. Ces derniers mois, par exemple, il a permis le trading d'options sur les $BTC ETF et a autorisé les banques à étendre leurs services de conservation de crypto. Aujourd'hui, le Sénat a voté pour confirmer Jonathan Gould en tant que prochain président de l'OCC : Gould a une longue carrière dans le secteur : avant sa nomination à l'OCC, il était le directeur juridique de BitFury, une société d'infrastructure blockchain. Le président Trump l'a personnellement choisi pour diriger ce bureau il y a plusieurs mois, et sa confirmation imminente pourrait accélérer plusieurs questions de politique en suspens. L'OCC est principalement responsable de la supervision du secteur bancaire américain, ce qui pourrait donner à Gould beaucoup d'influence sur la crypto pendant son mandat de cinq ans. Lors de son précédent passage en tant que conseiller juridique principal de l'OCC, il était fermement pro-crypto et soutenait une réglementation favorable des stablecoins. Maintenant qu'il est sur le point de prendre la direction de l'OCC, Gould pourrait promouvoir davantage l'intégration entre la crypto et le secteur bancaire. Une action possible pour soutenir cela serait de déclarer les stablecoins comme faisant partie intégrante de l'infrastructure financière ou d'émettre des directives pro-crypto. Il s'agit d'une nette amélioration par rapport aux campagnes de dé-bancarisation systémique d'il y a quelques années. Néanmoins, certaines préoccupations subsistent quant au fait que cette stratégie pourrait avoir un inconvénient important. Si Gould prend des mesures pour faire de l'OCC un outil pro-crypto, cela centralisera l'autorité réglementaire en dehors du contrôle de l'État. Cependant, si des personnalités politiques anti-crypto s'emparent de l'appareil fédéral, il serait plus difficile pour les juridictions locales de poursuivre leurs politiques de soutien. En fin de compte, il est toutefois difficile de prédire les ramifications politiques à long terme dans ce moment très instable.
Jonathan Gould, un ancien dirigeant de BitFury et allié de la crypto, vient de passer un vote au Sénat pour devenir le prochain président de l'OCC. Dans ce rôle, il pourrait rendre la politique bancaire nationale plus favorable à la crypto. Le président Trump a choisi Gould pour ce poste il y a plusieurs mois, et sa confirmation pourrait ouvrir de nouvelles opportunités. Cependant, son rôle pourrait centraliser davantage l'autorité sur la crypto, une décision qui pourrait se retourner contre lui. Gould devrait devenir président de l'OCC. L'Office of the Comptroller of the Currency (OCC), un bureau au sein du Trésor américain, est un élément négligé mais important de la réglementation financière fédérale. Ces derniers mois, par exemple, il a permis le trading d'options sur les BTC ETF et a autorisé les banques à étendre leurs services de conservation de crypto. Aujourd'hui, le Sénat a voté pour confirmer Jonathan Gould en tant que prochain président de l'OCC : Gould a une longue carrière dans le secteur : avant sa nomination à l'OCC, il était le directeur juridique de BitFury, une société d'infrastructure blockchain. Le président Trump l'a personnellement choisi pour diriger ce bureau il y a plusieurs mois, et sa confirmation imminente pourrait accélérer plusieurs questions de politique en suspens. L'OCC est principalement responsable de la supervision du secteur bancaire américain, ce qui pourrait donner à Gould beaucoup d'influence sur la crypto pendant son mandat de cinq ans. Lors de son précédent passage en tant que conseiller juridique principal de l'OCC, il était fermement pro-crypto et soutenait une réglementation favorable des stablecoins. Maintenant qu'il est sur le point de prendre la direction de l'OCC, Gould pourrait promouvoir davantage l'intégration entre la crypto et le secteur bancaire. Une action possible pour soutenir cela serait de déclarer les stablecoins comme faisant partie intégrante de l'infrastructure financière ou d'émettre des directives pro-crypto. Il s'agit d'une nette amélioration par rapport aux campagnes de dé-bancarisation systémique d'il y a quelques années. Néanmoins, certaines préoccupations subsistent quant au fait que cette stratégie pourrait avoir un inconvénient important. Si Gould prend des mesures pour faire de l'OCC un outil pro-crypto, cela centralisera l'autorité réglementaire en dehors du contrôle de l'État. Cependant, si des personnalités politiques anti-crypto s'emparent de l'appareil fédéral, il serait plus difficile pour les juridictions locales de poursuivre leurs politiques de soutien. En fin de compte, il est toutefois difficile de prédire les ramifications politiques à long terme dans ce moment très instable.